Splendeur des paysages d’outre-Méditerranée, attachement passionnel de deux êtres à leur pays natal, inhumanité d’une guerre fratricide qui marque ceux qui en ont souffert de stigmates indélébiles, cruauté de l’industrialisation qui tue ce que la guerre a épargné, merveilleux et fantastique s’entremêlant sur la trame de l’histoire, on trouve tout cela dans L’enfant de l’Oued Ksoub. 1er prix de poésie El Djezaïr en 1956, 1er prix Mare Nostrum en 1974, Norbert Poupeney publie son troisième roman. Sa plume, il la met au service de son pays et de son peuple, non seulement pour réconforter ses compatriotes, mais aussi pour éclairer l’opinion métropolitaine. Sensible au martyre subi depuis douze ans par les chrétiens du Liban ; face à tant de misère, de drames, d’épreuves endurées dans une indifférence quasi-générale, c’est un peu de réconfort fraternel qu’il s’efforce de leur apporter. Par l’intermédiaire de deux prêtres amis résidant au Liban, il a constitué une chaîne de solidarité afin de venir en aide à ceux qui sont dans le dénuement le plus total. Ses droits sur la vente de l’ouvrage leur sont destinés.