Françoise tient un magasin d’accessoires de danse dans le quartier de l’Opéra à Marseille. Partageant avec Hubert, son amant médecin, une passion pour les expériences érotiques insolites, elle aime être exhibée devant des inconnus ou assouvir leur goût commun pour les examens médicaux très poussés.
En outre, elle a un faible pour les très jeunes filles, qu’elle prend plaisir à dominer. Dans sa boutique fréquentée par les élèves de l’académie de danse, elle profite des essayages pour les pervertir. Pour les plus impudiques de ces ballerines, elle a aménagé à l’étage une salle de danse réservée à des « ballets privés ».
Là, quelques amateurs fortunés de ballets roses peuvent admirer les « entrechats » des petits rats au cul nu sous leur tutu, qui exhibent impudiquement leurs abricots fendus soigneusement épilés.
L’arrivée de Candice, une jeune stagiaire anglaise, va bousculer ce train-train. Ingénue perverse, elle n’aime que les femmes. Voilà pour Françoise l’occasion rêvée de la former, afin d’en faire profiter plus tard son amant. Candice commence son éducation : fessées, pipi des dames, exhibitions, jeux de mains et de langues...
En attendant qu’elle soit prête, Hubert se console avec Patricia, superbe créature au crâne rasé, entièrement épilée, collier de chien au cou, nue sous son manteau, chaussée d’extravagantes bottes aux talons démesurés, envoyée dans son cabinet par son mari... afin qu’on lui place des bijoux intimes très « perçants ». Soumise à sa « maîtresse » de danse, Patricia s’exhibe dans le beau monde, lors de soirées spéciales.
Pendant ce temps, Françoise poursuit le dressage de sa stagiaire... Je ne vous en dirai pas plus. Une fois de plus, Sophie s’est surpassée : son livre est un véritable festin... pour les amateurs avertis.